Version: 4 septembre 2002 |
A La Chaux-de-Fonds, berceau du canton de l'horlogerie traditionnelle suisse, nous trouvons Francis Jeannin. Il semblerait qu'une part de cette ingéniosité qui caractérise l'horlogerie suisse soit intervenue dans la construction de son lecteur de cylindres B38. L'appareil lit quantité de cylindres: Standard, Amberol, Amberol Bleu, Dictaphone, Inter, et Stentor. Il y a des mandrins en option pour les cylindres de Graphophone type A, Lioret et Céleste, ainsi que d'autres dimensions sur demande. Les mandrins, vides, sont construits en vinyle et en aluminium, monté sur un axe d'acier. Cet axe peut être déplacé aux deux estrémités pour compenser l'excentricité des cylindres. Le mandrin est entraîné par deux courroies plates par un moteur Revox Studer à rotor extérieur, et sa vitesse varie de 47 à 218 tours-minute. De même, il existe deux vitesses fixes: 80 et 160 tours-minute. On lit la vitesse sur un affichage en façade, qui prend l'information de vitesse sur la carte de contrôle du moteur. La platine et le bras sont montés sur supports antivibratoires. La cellule est une Shure M104 avec pointes pour cylindres 2 et 4 minutes. Christer Hamp, 1999
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La platine avec ses deux courroies, ainsi que le mécanisme de compensation de l'excentricité. | La potence massive, côté installation du cylindre, avec l'axe ajustable pour l'excentricité. |
Francis Jeannin travaillant sur son lecteur B38.
Ecrivez à Francis Jeannin: | Retrouvez les caractéristiques principales du lecteur B 38 sur: | |
Olivier Collet
Le Sesau 1041 Oulens s/Echallens tél: +41 21 882 53 93
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